dimanche 20 novembre 2011

Le suaire de Turin Le vrai visage de Jésus


Le Suaire de Turin étant exposé publiquement pour la première fois en 10 ans, de nouvelles données révèlent plus qu'une simple image plane intégrée dans le tissu ancien, mais une étonnante figure ressemblant à une sculpture en trois dimensions. En utilisant les principes de la physique, une technologie de pointe numérique ainsi que le procédés révolutionnaire CGI, nous ramenons cette image à la vie, en dévoilant la représentation la plus précise jamais vu de ce que beaucoup croient être Jésus-Christ.


Le suaire de Turin

Le livre d'Urantia expliquerais le procéder de la résurection, et y'a des similitudes avec les preuvent que les scientifiques avance. À lire et vous en jugerai par vous même. Je débute après la crucifiction quand Jésus est dans le tombeau.

Après que Gabriel eut conféré avec le doyen des Très Hauts d'Édentia, l'archange porte-parole des légions célestes reçut l'autorisation de disposer à son gré de la dépouille physique de Jésus. 

Quand sa demande eut été exaucée, le chef des archanges appela à son aide un grand nombre de ses semblables ainsi qu'une foule de représentants de tous les ordres de personnalités célestes ; puis, avec l'assistance des médians d'Urantia, il se mit à l'oeuvre pour prendre possession du corps physique de Jésus. Ce corps de mort était une création purement matérielle, littéralement physique. On ne pouvait pas le retirer du tombeau à la manière dont la forme morontielle ressuscitée avait pu s'échapper du sépulcre scellé. Avec l'aide de certaines personnalités morontielles auxiliaires, on peut, à certains moments, rendre la forme morontielle semblable à celle de l'esprit ; elle devient alors indifférente à la matière ordinaire ; à d'autres moments, elle peut devenir discernable et touchable par des êtres matériels tels que les mortels du royaume.

Pendant que les archanges et leur assistants se préparaient à retirer le corps de Jésus du tombeau avant d'en disposer d'une manière respectueuse et digne par le processus de la dissolution quasi instantanée, les médians secondaires d'Urantia furent chargés d'écarter les deux pierres qui bouchaient l'entrée du tombeau. La plus grosse était un énorme bloc circulaire très semblable à une meule ; elle se déplaçait dans une rainure taillée dans le roc, de sorte que l'on pouvait la rouler en avant ou en arrière pour ouvrir ou fermer le tombeau. Quand les gardes juifs et les soldats romains qui veillaient virent, à la faible lueur de l'aube, l'énorme pierre qui, apparemment de son propre chef, commençait à rouler pour dégager l'entrée du caveau — sans aucun moyen visible expliquant ce mouvement — ils furent saisis de peur panique et quittèrent précipitamment les lieux. 

Les légions célestes avaient reçu l'autorisation demandée de lui faire subir une dissolution spéciale et exceptionnelle, un retour “ de la poussière à la poussière” , sans l'intervention des délais du temps et sans la mise en oeuvre des processus ordinaires et visibles de décomposition mortelle et de putréfaction matérielle.

La dépouille mortelle de Jésus a subi le processus naturel de désintégration élémentale qui caractérise tous les corps humains sur terre, sauf qu'au point de vue du facteur temps, ce mode de dissolution naturelle fut considérablement accéléré, et hâté au point de devenir presque instantané. 


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire